La prochaine chose à savoir est que l’on sait quelle est la formule correcte à appliquer en inspectant les statistiques continuellement et de très près. Par statistiques, on entend des nombres de choses, la mesure d’une quantité, le tout en relation avec le temps. Si une statistique n’est pas comparée à une statistique antérieure du même type, ne donnera aucune prédiction de statistique future. Une statistique unique est sans valeur. Les statistiques sont toujours moins bonnes, pareilles ou meilleures que ce qu’elles étaient à une période antérieure. Faire des graphiques et les lire est donc une nécessité vitale pour diriger une organisation, un département ou une personne et pour y appliquer les formules des conditions.
Cela est beaucoup plus facile qu’il n’y paraît. Si vous avez gagné 1000 euros la semaine dernière et seulement 200 cette semaine, il est évident que vous gaffez ; si vous avez gagné 1100 euros cette semaine, vous êtes assez stable ; si vous avez gagné 5000 euros cette semaine, vous vivez dans l’aisance, tout cela comparé aux 1000 euros que vous avez gagnés la semaine dernière.
Quel est donc le code de conduite à suivre pour rester prospère dans ces conditions ? Ce sont les formules des conditions.
La troisième chose à savoir est que l’on peut ruiner une organisation, un département ou une personne en appliquant la formule de la mauvaise condition. La personne est en condition d’urgence. Si on applique la condition d’affluence ou de puissance ou tout sauf la condition d’urgence, ce sera la déconfiturepour cette personne. L’univers est ainsi fait. Il faut appliquer la bonne condition.